Comments: 0 Post Date: October 16, 2022

Une etude allemande estime que c’est la situation de 3% d’entre elles dans un echantillon compose aux des quarts d’etudiantes.

Une etude allemande estime que c’est la situation de 3% d’entre elles dans un echantillon compose aux des quarts d’etudiantes.

C’est le cas de 5% des hommes.

En France, 10% des femmes agees de moins de 30 ans (5% ensuite), regardent «souvent» d’une pornographie, ainsi, 22% «parfois» selon un sondage Ifop realise en janvier 2019 pour le magazine «Elle» aupres d’un echantillon representatif age de 18 annees et plus. Mais a partir de quand https://www.datingmentor.org/fr/rencontres-biracial peut-on voir que analyser en pornographie online devient 1 probleme? Et d’ailleurs, la quantite consommee est-elle le facteur determinant?

Les indices d’addiction au porno

Des psychologues de l’universite Justus-Liebig a Giessen (Allemagne) ont interroge 485 jeunes filles volontaires, agees de plus de 18 ans et etudiantes pour des trois quarts d’entre elles, Afin de estimer la proportion de jeunes filles ayant une addiction problematique au porno. Au total, dix-sept dames, soit 3% de l’echantillon, presentaient une addiction problematique au porno, observent les chercheurs dans le Journal of Sexual Medicine. Dans le questionnaire utilise (le sIAT, ici en version francaise) on trouvait des questions de deux ordres.

D’une part, celles concernant la perte de controle: se penser «juste encore certains minutes» lorsqu’on reste sur des sites pornos; rester dans ces sites plus un certain temps que son intention au depart; negliger ses taches quotidiennes dans le but de passer plus de moment sur des sites X; manquer de sommeil parce qu’on est reste tard sur ce type de sites, etc.

D’autre part, celles concernant le «craving», terme consacre en addictologie Afin de definir l’envie irresistible de consommer 1 produit «addictif», et les problemes dans l’existence sociale: choisir de perdre du temps sur des e-boutiques pornos plutot que de sortir avec ses proches; cacher a toutes les autres moyen passe sur ces sites; se sentir deprime, de mauvaise humeur ou enerve lorsqu’on ne surfe nullement sur des e-boutiques pornos, puis se sentir plus lorsqu’on recommence.

Ce n’est nullement la quantite qui compte

Pourtant une etude americaine menee en 1998 aupres de 9.000 individus (dont environ 1300 dames) observait que plus une personne passait d’heures a voir du porno et plus son niveau de stress etait eleve, sans pouvoir neanmoins affirmer la relation de cause a effet. Ils font trois annees, des chercheurs polonais calculaient cependant que ca n’etait nullement tant la quantite de X consomme (frequence et duree de visionnage) qui conditionnait l’existence d’un probleme d’addiction au porno que les eventuels sentiments negatifs associes.

Une etude statistique qui rejoint votre que voient les sexologues en fonctionnel, puisqu’il n’existe pas de comportement sexuel normal (mais certains sont illegaux). C’est la souffrance de la personne qui consulte qui importe. D’autres auteurs soulignent d’ailleurs comme motif de consultation l’existence d’une souffrance morale lorsqu’il y a votre decalage entre nos convictions morales ou religieuses par rapport a Notre pornographie d’ordinaire, ou au type de pornographie regardee. Les sentiments de honte, de degout ou de culpabilite pourront alors envahir l’individu apres la satisfaction eprouvee lors d’la consommation de porno.

Prevenir et guerir l’addiction au porno

Finalement, au-dela du souci des chercheurs de mieux definir l’addiction au porno pour ensuite mesurer l’ampleur du probleme, l’urgence est aujourd’hui double: prevenir et guerir.

Prevenir la glissade comportementale d’une part, en aidant les mecs a reconnaitre les indices que leur consommation de porno a deja certains aspects problematiques (chute de controle, le desir irresistible. ). Ce qui permet de les mettre en garde contre l’effet renforcateur de leur comportement, c’est-a-dire Notre spirale de stimulations cerebrales des circuits une recompense (avec 1 risque d’escalade), dans laquelle ils s’engagent. Les therapies cognitives et comportementales (TCC) ont fera leurs preuves dans ce domaine.

L’autre urgence reste d’offrir des solutions aux individus qui se trouvent deja en difficulte ou en souffrance. C’est-a-dire leur apporter les outils psychologiques pour bouger de l’impasse. Mes TCC ne suffisent pas et une approche globale avec un sexologue ou votre sexotherapeute est alors souhaitable.

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